Une soirée et tout bascule // Wolfe
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Une soirée et tout bascule // Wolfe
Nos parents ont de nouveau atterris pour quelques jours .. J’suis toujours contente de les voirs mais dans le fond c’est fatiguant .. On est plus vieux mais ça nous fait toujours le même effet avec Wolfe. A force ont laisse aller .. Ils sont là, ont fait avec, ils sont pas là bah .. on fait avec aussi. Ca nous empêche pas de vivre bien au contraire, ont a appris à se débrouiller. Bred c’est encore rock n’roll, des amis de la famille nous ont invités pour l’occasion. Perso’ ça m’enchante pas des masses, va falloir qu’on joue la comédie. En plus leurs fils Joachim, il me regarde toujours étrangement. Je sais même pas pourquoi. Mais ca peut être pesant à la longue. Je m’efforce de lui sourire mais sérieusement ça commence à mettre vachement mal à l’aise .. Bref. D’habitude j’aurais mit une robe mais là j’avais pas le courage. Alors j’ai enfilé un chemisier noir et un jeans c’est pas non plus une soirée avec tout pleins de grand monde puis le permier qui est pas content bah je lui ferai savoir. j’ai terminé de me maquiller, un trait d’eye liner et du rouge sur mes lèvres et j’suis parti rejoindre mon jumeau qui était encore dans sa chambre, après avoir toquer quand même on sait jamais. Après autorisation je lui ai servi un grand sourire
“Sortable ou pas ta jumelle ?” demandais je en tournant sur moi même et pouffant légèrement. Puis je l’ai regardais tout sourire “Toujours aussi beau mon loup ..” J’échange avec lui un clin d’oeil complice en restant un petit moment à discuter. Je relève la tête en entendant la voix de maman qui s'élève en bas des escaliers . Je soupire et embrasse la joue de mon frère avant de lui prendre la main et de descendre avec lui. Je vais chercher ma longue veste sur le porte manteau , je croise le regard de mon père qui en dit long sur ma tenue, il s’attendait sûrement à ce que je m’habille de façon plus correct mais je ne relève pas. Tout le monde est prêt, on monte dans la superbe voiture et prenons la direction de chez les Miller.
Ce fait déjà quelques années qu’on les côtoient, nos parents ont les même goûts et les même opinions alors forcément ça a tout de suite collé entre eux . Leurs fils il a l’air un peu paumé .. Fin c’est surtout qu’il obéit à tout bout de champs à papa et maman.. Je sais pas comment il fait.
J’ai pas vu le demi heure de route passer entre mes pensées et les échanges avec Wolfe mais nous voilà devant chez eux.
Je colle un sourire sur mes lèvres et descend de la voiture, restant tout prêt de mon équilibre entier . On sonne puis la porte s’ouvre .. La famille Miller au complet nous accueil. C’est reparti pour un nouvel enfer..
“Sortable ou pas ta jumelle ?” demandais je en tournant sur moi même et pouffant légèrement. Puis je l’ai regardais tout sourire “Toujours aussi beau mon loup ..” J’échange avec lui un clin d’oeil complice en restant un petit moment à discuter. Je relève la tête en entendant la voix de maman qui s'élève en bas des escaliers . Je soupire et embrasse la joue de mon frère avant de lui prendre la main et de descendre avec lui. Je vais chercher ma longue veste sur le porte manteau , je croise le regard de mon père qui en dit long sur ma tenue, il s’attendait sûrement à ce que je m’habille de façon plus correct mais je ne relève pas. Tout le monde est prêt, on monte dans la superbe voiture et prenons la direction de chez les Miller.
Ce fait déjà quelques années qu’on les côtoient, nos parents ont les même goûts et les même opinions alors forcément ça a tout de suite collé entre eux . Leurs fils il a l’air un peu paumé .. Fin c’est surtout qu’il obéit à tout bout de champs à papa et maman.. Je sais pas comment il fait.
J’ai pas vu le demi heure de route passer entre mes pensées et les échanges avec Wolfe mais nous voilà devant chez eux.
Je colle un sourire sur mes lèvres et descend de la voiture, restant tout prêt de mon équilibre entier . On sonne puis la porte s’ouvre .. La famille Miller au complet nous accueil. C’est reparti pour un nouvel enfer..
Re: Une soirée et tout bascule // Wolfe
J’suis crevé … Je suis rentré tôt ce matin de ma soirée. Vu que les parents sont de passage, ça se passe ailleurs qu’à la barraque. Du coup j’suis resté au Bright Highlights jusqu’à la fermeture. On y est allé avec un groupe de pote du lycée. C’était franchement cool. Comme d’habitude, ils ont évité de parler de Gil devant moi. Après tout, on a la même bande d’amis depuis le bahut. Je sens le mal qu’ils se donnent, pour ne pas créer de tension … mais du coup ça en créé d’autres. Bref. Il ne s’est pas pointé. Et j’ai passé une bonne soirée.
C’est sur les coups de six heures du matin que je suis rentré, le temps de chopper un taxi. Le paternel était déjà debout. Planté sur son ordinateur, s’il m’a entendu rentrer, il a très bien joué la carte de l’ignorance. Il est doué à ce jeu là. C’est pourtant pas faute d’avoir failli me crouter dans les escaliers. Deux fois. Ca, c’était la vodka de trop.
Le temps de prendre ma douche, à 7h je ronflais déjà. Ce n’est que quelques heures plus tard que mon réveil sonne. Mon réveil ? Je jette un regard à l’écran et voit “Miller” d’affiché comme alerte. J’arque un sourcil avant de parvenir à reconnecter les fils, puis je souris tout seul. Ca doit être Lulu qui a jugé bon de me mettre un réveil en me voyant partir hier soir … Elle est trop mignonne. Il doit être 15h. J’ai décuvé, mais j’ai encore la tête dans le cul.
J’ai rien fait de constructif jusqu’à ce qu’il soit l’heure de se préparer. J’enfile un jean sombre, un tee shirt un peu plus clair, sobre, col en V, et un blazer assorti à mon jean. C’est simple, suffisamment élégant, et moins contraignant à porter qu’une chemise.
Bien sûr qu’elle est sortable ma soeur. Elle l’est toujours, et en toutes circonstances. Le premier qui dit le contraire, je lui pète le nez.
Planté devant la maison des Miller, je tâche de paraître le plus réveillé possible. Mais mes yeux me piquent, et je rêve déjà de mon lit. Avec un doudou, ça serait encore mieux.
** Joachim **
Les Frischmann sont là. Branle-bas de combat.
Mon père appelle et je dévale les marches pour arriver dans l’entrée. Je n’y fais même plus attention, mais ma vie est orchestrée comme ça depuis longtemps. Je fais ce qu’on attend de moi, parce que c’est ce qui doit être fait. Et je ne pose pas de questions. Pourquoi faire ? Après tout, ça me réussit.
Droit comme un i, je croise le regard de ma mère qui hoche lentement la tête fièrement, avec un brin d’amusement que je crois déceler malgré tout. Elle doit noter l’effort vestimentaire que j’ai fait en mettant une chemise bien repassée, ainsi qu’un noeud papillon, soigneusement noué autour de mon cou. Mais elle sait aussi parfaitement que je n’ai pas fait tout ça au hasard. Elle sait … du moins elle devine quel intérêt je porte à la miss Frischmann. Et ce, depuis le début.
La porte s’ouvre. Et mon coeur a un raté lorsque je la distingue derrière ses parents.
-Karoline, Ulrich ! Entrez donc ! S’exclame mes parents, presque en parfaite synchronisation.
Je les salue poliment, serrant la main de Monsieur Frischmann et de Madame Frischmann. J’échange quelques mots polis avec eux tandis que mes parents s’approchent de la fratrie Frischmann.
-Lubia, Wolfe ! C’est un vrai plaisir de vous revoir !
Je suis le mouvement et m’approche d’eux. Mon regard est déjà happé par Lubia. Elle est si jolie. Je les accueille à l’intérieur, un peu timidement alors que nos parents partent déjà au salon.
-Salut …
J’échange une poignée de main avec Wolfe et approche pour faire la bise à Lubia.
-Tu es très élégante Lubia …
C’est sur les coups de six heures du matin que je suis rentré, le temps de chopper un taxi. Le paternel était déjà debout. Planté sur son ordinateur, s’il m’a entendu rentrer, il a très bien joué la carte de l’ignorance. Il est doué à ce jeu là. C’est pourtant pas faute d’avoir failli me crouter dans les escaliers. Deux fois. Ca, c’était la vodka de trop.
Le temps de prendre ma douche, à 7h je ronflais déjà. Ce n’est que quelques heures plus tard que mon réveil sonne. Mon réveil ? Je jette un regard à l’écran et voit “Miller” d’affiché comme alerte. J’arque un sourcil avant de parvenir à reconnecter les fils, puis je souris tout seul. Ca doit être Lulu qui a jugé bon de me mettre un réveil en me voyant partir hier soir … Elle est trop mignonne. Il doit être 15h. J’ai décuvé, mais j’ai encore la tête dans le cul.
J’ai rien fait de constructif jusqu’à ce qu’il soit l’heure de se préparer. J’enfile un jean sombre, un tee shirt un peu plus clair, sobre, col en V, et un blazer assorti à mon jean. C’est simple, suffisamment élégant, et moins contraignant à porter qu’une chemise.
Bien sûr qu’elle est sortable ma soeur. Elle l’est toujours, et en toutes circonstances. Le premier qui dit le contraire, je lui pète le nez.
Planté devant la maison des Miller, je tâche de paraître le plus réveillé possible. Mais mes yeux me piquent, et je rêve déjà de mon lit. Avec un doudou, ça serait encore mieux.
** Joachim **
Les Frischmann sont là. Branle-bas de combat.
Mon père appelle et je dévale les marches pour arriver dans l’entrée. Je n’y fais même plus attention, mais ma vie est orchestrée comme ça depuis longtemps. Je fais ce qu’on attend de moi, parce que c’est ce qui doit être fait. Et je ne pose pas de questions. Pourquoi faire ? Après tout, ça me réussit.
Droit comme un i, je croise le regard de ma mère qui hoche lentement la tête fièrement, avec un brin d’amusement que je crois déceler malgré tout. Elle doit noter l’effort vestimentaire que j’ai fait en mettant une chemise bien repassée, ainsi qu’un noeud papillon, soigneusement noué autour de mon cou. Mais elle sait aussi parfaitement que je n’ai pas fait tout ça au hasard. Elle sait … du moins elle devine quel intérêt je porte à la miss Frischmann. Et ce, depuis le début.
La porte s’ouvre. Et mon coeur a un raté lorsque je la distingue derrière ses parents.
-Karoline, Ulrich ! Entrez donc ! S’exclame mes parents, presque en parfaite synchronisation.
Je les salue poliment, serrant la main de Monsieur Frischmann et de Madame Frischmann. J’échange quelques mots polis avec eux tandis que mes parents s’approchent de la fratrie Frischmann.
-Lubia, Wolfe ! C’est un vrai plaisir de vous revoir !
Je suis le mouvement et m’approche d’eux. Mon regard est déjà happé par Lubia. Elle est si jolie. Je les accueille à l’intérieur, un peu timidement alors que nos parents partent déjà au salon.
-Salut …
J’échange une poignée de main avec Wolfe et approche pour faire la bise à Lubia.
-Tu es très élégante Lubia …
Wolfe Frischmann
isMessages : 102
Age : 33
Date d'inscription : 05/03/2017
Localisation : Maison Frischmann, vous pouvez pas la louper tellement elle est grande ... ou sinon laissez vous juste guider par la musique !
Emploi/loisirs : J'anime vos soirées en solitaire ... bande de petits pervers !
Je suis : Célibataire mais rarement seul
Re: Une soirée et tout bascule // Wolfe
Je crois que j’ai bien fait de mettre le réveil de mon frère, je savais bien qu’il allait pas rentrer de bonne heure au soir, mais plutôt de bonne heure au matin. J’ai entendu ses pas quand il est rentré, j’étais réveiller car un des nos chiens à voulu absolument me rejoindre, il a dû entendre Wolfe et venir me prévenir en quelques sortes ? Chais pas mais on s’en fiche, il était rentré et je me suis sentis beaucoup mieux. On fait nos soirées ensemble, surtout à la maison. Y’a de la place. Bref vous aurez compris je crois. Mais là comme les parents sont revenus, il est partit se changer les idées avec ses potes du lycée. C’est toujours tendu il a plus de mal que moi à supporter leurs aller et venus ..La veille j’ai voulu passer un peu de temps avec nos parents, mon père était au téléphone toute la soirée .. Ma mère est rester un peu avec moi elle semblait désolée, je me suis sentie mal alors j’ai prétexté vouloir réviser. Elle a pas insisté, elle m’a laissé faire et je suis monté pour aller me coucher.
15h est arrivé, j’en ai profité pour aller squatter un peu avec lui quand j’ai jugé bon et avant qu’on se retrouve avec ton pleins de monde autour de nous. J’avais juste besoin d’un petit câlin, rien de plus, rien de moins, ca me suffisait pour me remettre d’aplomb.
Passons, passons.
On est devant chez les Miller, je sens que mon frère a déjà un peu de mal a tenir debout. Mais j’ai pas le temps de réfléchir plus que la porte s’ouvre. Monsieur et Madame Miller accueil nos parents en premier et j’élargis mon sourire quand ils viennent à nous, ils ne sont pas méchant bien au contraire on toujours était très bien accueillis mais les discussions peuvent devenir parfois .. barbante ? Disons ca comme ça.. Je fais la bise aux parents de Joachim, c’est pas comme ci ils nous étaient inconnus.
“Madame Miller, c’est un réel plaisir de vous revoir aussi et cette robe .. elle vous va à ravir ! “
Certaines femmes aiment beaucoup les compliments et c’est le cas chez elle, ce n’est pas pour faire mon intéressante auprès d’eux , mais un petit compliment bien placé fait toujours bonne impression. Tout ça fait nos parents et les Miller partent déjà au salon tandis que Joachim nous rejoint habillé d’une belle chemise repasser et d’un noeud papillon. Je lâche la main de mon frère quand il vient dire bonjour à celui ci avant de venir me faire la bise et me complimenter sur ma tenue, je souris un peu plus
“Je te remercie .. Toi aussi, tu sais.. Très chic le noeud papillon!” Dis je avec le même sourire
15h est arrivé, j’en ai profité pour aller squatter un peu avec lui quand j’ai jugé bon et avant qu’on se retrouve avec ton pleins de monde autour de nous. J’avais juste besoin d’un petit câlin, rien de plus, rien de moins, ca me suffisait pour me remettre d’aplomb.
Passons, passons.
On est devant chez les Miller, je sens que mon frère a déjà un peu de mal a tenir debout. Mais j’ai pas le temps de réfléchir plus que la porte s’ouvre. Monsieur et Madame Miller accueil nos parents en premier et j’élargis mon sourire quand ils viennent à nous, ils ne sont pas méchant bien au contraire on toujours était très bien accueillis mais les discussions peuvent devenir parfois .. barbante ? Disons ca comme ça.. Je fais la bise aux parents de Joachim, c’est pas comme ci ils nous étaient inconnus.
“Madame Miller, c’est un réel plaisir de vous revoir aussi et cette robe .. elle vous va à ravir ! “
Certaines femmes aiment beaucoup les compliments et c’est le cas chez elle, ce n’est pas pour faire mon intéressante auprès d’eux , mais un petit compliment bien placé fait toujours bonne impression. Tout ça fait nos parents et les Miller partent déjà au salon tandis que Joachim nous rejoint habillé d’une belle chemise repasser et d’un noeud papillon. Je lâche la main de mon frère quand il vient dire bonjour à celui ci avant de venir me faire la bise et me complimenter sur ma tenue, je souris un peu plus
“Je te remercie .. Toi aussi, tu sais.. Très chic le noeud papillon!” Dis je avec le même sourire