Touched for the very first time... Gabriel & Wolfe
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Re: Touched for the very first time... Gabriel & Wolfe
Gabriel rebondit parfaitement bien, et ouvre ainsi la scène tant attendue … celle pour laquelle les gens auront acheté le DVD. Celle pour laquelle l’ascension s’interrompra.
Si il est novice devant les caméras, je sais à quel point il est joueur. Il maîtrise son sujet.
La caméra tourne dans mon dos. Ainsi, elle peut voir le face à face des deux hommes. Et capter autant le regard du groom, que celui de l’homme d’affaire, dans le reflet. Sa provocation lui plait. Mais il est certainement trop fier pour le montrer totalement. Cela éveille donc un peu plus son regard, ainsi qu’un léger sourire en coin. Puis, je me regarde directement, écartant les pans de ma veste, quelques secondes … C’est comme si l’homme cherchait de quoi il pourrait être ainsi délesté … et le regard qu’il repose sur son vis à vis sonne le glas de l’évidence.
-En seriez-vous seulement capable ..? souffla t-il, la voix aussi lourde de provocation que le sourire qu’il lui sert.
L’homme est tendu, oui, par les obligations de son travail … par les sollicitations incessantes des différents contrats qui lui font courir le pays. Il n’arrive pas à décrocher … Et aujourd’hui il est habité par une tension supplémentaire.
D’un pas lent, il approche. Et sa main se dépose sur la paroi-miroir de l'ascenseur, juste derrière le groom et autour de ses doigts se diffuse une fine pellicule embuée. Moi, je le sens. Mais la caméra ne le verra pas. Pas tout de suite … mais je sais comment une telle paroi vitreuse peut réagir à deux corps qui chauffent.
J’entrouvre les lèvres, et mon regard est traversé par un voile de désir que je lui dévoile, sans plus aucun détour. Un désir bien réel.
Si il est novice devant les caméras, je sais à quel point il est joueur. Il maîtrise son sujet.
La caméra tourne dans mon dos. Ainsi, elle peut voir le face à face des deux hommes. Et capter autant le regard du groom, que celui de l’homme d’affaire, dans le reflet. Sa provocation lui plait. Mais il est certainement trop fier pour le montrer totalement. Cela éveille donc un peu plus son regard, ainsi qu’un léger sourire en coin. Puis, je me regarde directement, écartant les pans de ma veste, quelques secondes … C’est comme si l’homme cherchait de quoi il pourrait être ainsi délesté … et le regard qu’il repose sur son vis à vis sonne le glas de l’évidence.
-En seriez-vous seulement capable ..? souffla t-il, la voix aussi lourde de provocation que le sourire qu’il lui sert.
L’homme est tendu, oui, par les obligations de son travail … par les sollicitations incessantes des différents contrats qui lui font courir le pays. Il n’arrive pas à décrocher … Et aujourd’hui il est habité par une tension supplémentaire.
D’un pas lent, il approche. Et sa main se dépose sur la paroi-miroir de l'ascenseur, juste derrière le groom et autour de ses doigts se diffuse une fine pellicule embuée. Moi, je le sens. Mais la caméra ne le verra pas. Pas tout de suite … mais je sais comment une telle paroi vitreuse peut réagir à deux corps qui chauffent.
J’entrouvre les lèvres, et mon regard est traversé par un voile de désir que je lui dévoile, sans plus aucun détour. Un désir bien réel.
Wolfe Frischmann
isMessages : 102
Age : 33
Date d'inscription : 05/03/2017
Localisation : Maison Frischmann, vous pouvez pas la louper tellement elle est grande ... ou sinon laissez vous juste guider par la musique !
Emploi/loisirs : J'anime vos soirées en solitaire ... bande de petits pervers !
Je suis : Célibataire mais rarement seul
Re: Touched for the very first time... Gabriel & Wolfe
Il se rapproche. Mon cœur cogne. J’ai envie de saisir sa cravate et l’embrasser à pleine bouche, en entourant la bande de tissu pour lui montrer à quel point je ne veux pas qu’il recule...Je veux mordre possessivement la courbe charnue de son sourire et lui prouver que oui, je peux faire éclater l’orage. Mais ce n’est pas Wolfe qui s’adresse à moi. D’ailleurs, je ne crois pas qu’il m’ait un jour vouvoyé...
Alors je tâche de maîtriser ma respiration, tandis que le regard du groom court sur ce bras tendu si près de son visage. Là encore, il pourrait faire un pas de côté pour stopper l’engin élévateur. Mais il pourrait avoir l’air de fuir. Or, ce ne sont pas ses intentions. Il veut attiser le feu. Ainsi, il lève lentement la main, son regard braqué sur le visage tendu qui lui fait face…. Et sa main se referme bien sur la cravate. Non pas pour s’en servir de lien, mais pour la desserrer, d’un geste on-ne-peut plus vif et habile. Je ne saurais dire combien de cravates j’ai pu mettre ou enlever… Sur moi, ou d’autres… Mes doigts agissent sans que j’aie besoin d’avoir recours à ma vue. Sans jamais que mon regard ne dévie, je laisse tomber l'accessoire défait, dans un bruissement résonnant bien trop, compte tenu de la taille de la cabine presque vide, et à peu de choses près, encore silencieuse.
“J’ai cru remarqué qu’elle vous incommodait…” Poursuivis-je sur un ton d’une insolence toute diplomate, alors que j’arbore un sourire aussi défiant que celui du buisness man.
S’il me tient trop longtemps éloigné de la commande de l’ascenseur, les portes ne tarderont plus à s’ouvrir. Ce serait fort décevant. D’autant plus que le garçon d’étage sait parfaitement qu’une fois qu’il aura passé les portes de l’hôtel, d’ici quelques heures, il laissera son uniforme derrière lui...
Alors je tâche de maîtriser ma respiration, tandis que le regard du groom court sur ce bras tendu si près de son visage. Là encore, il pourrait faire un pas de côté pour stopper l’engin élévateur. Mais il pourrait avoir l’air de fuir. Or, ce ne sont pas ses intentions. Il veut attiser le feu. Ainsi, il lève lentement la main, son regard braqué sur le visage tendu qui lui fait face…. Et sa main se referme bien sur la cravate. Non pas pour s’en servir de lien, mais pour la desserrer, d’un geste on-ne-peut plus vif et habile. Je ne saurais dire combien de cravates j’ai pu mettre ou enlever… Sur moi, ou d’autres… Mes doigts agissent sans que j’aie besoin d’avoir recours à ma vue. Sans jamais que mon regard ne dévie, je laisse tomber l'accessoire défait, dans un bruissement résonnant bien trop, compte tenu de la taille de la cabine presque vide, et à peu de choses près, encore silencieuse.
“J’ai cru remarqué qu’elle vous incommodait…” Poursuivis-je sur un ton d’une insolence toute diplomate, alors que j’arbore un sourire aussi défiant que celui du buisness man.
S’il me tient trop longtemps éloigné de la commande de l’ascenseur, les portes ne tarderont plus à s’ouvrir. Ce serait fort décevant. D’autant plus que le garçon d’étage sait parfaitement qu’une fois qu’il aura passé les portes de l’hôtel, d’ici quelques heures, il laissera son uniforme derrière lui...
Re: Touched for the very first time... Gabriel & Wolfe
J’entends les commentaires approbateurs de Stan. On est sur la bonne voie. Mais ce n’est qu’un bruit lointain. Car presque toute mon attention est focalisée sur Gabriel. Bien sûr, je pense aux caméras, aux manières les plus avantageuses de capter leurs yeux, de prendre la lumière … mais c’est quelque chose qui est devenu instinctif à force de tournage. Du coup, je peux profiter pleinement de ce moment de complicité intense que je partage avec mon ami.
L’initiative du groom fait frémir l’homme d’affaire qui sent une vague de frisson dans son cou. Approbateur, une de ses mains se pose contre sa hanche. La tension continue de grimper.
-Vous êtes perspicace … répondit-il, d’une voix grave et basse.
Les deux regards se captent à nouveau et l’autre main rejoint la hanche opposée du groom pour saisir sa taille et l’entraîner contre une autre paroi de l'ascenseur … Pure calcul scénaristique de ma part, et peut être semi-conscient du business man : Les deux hommes se retrouvent tout près du panneau de commande de l’appareil.
L’homme approche encore, et son regard se baisse pour pouvoir apprécier la pulpe charnue des lèvres de l’attirant jeune homme. Je connais leur goût, et j’aime ses baisers.
-Si il n’y avait que ma cravate qui m’incommodait … poursuit-il, plus bas encore.
Son souffle se fait plus court, comme si il était déjà au proie d’un désir certain. Son corps se rapproche et se colle à celui du groom. La prise de ses mains se resserre. Et sans attendre davantage, il vint embrasser ces lèvres tant convoitées dans un baiser lourd de tension électrique.
L’initiative du groom fait frémir l’homme d’affaire qui sent une vague de frisson dans son cou. Approbateur, une de ses mains se pose contre sa hanche. La tension continue de grimper.
-Vous êtes perspicace … répondit-il, d’une voix grave et basse.
Les deux regards se captent à nouveau et l’autre main rejoint la hanche opposée du groom pour saisir sa taille et l’entraîner contre une autre paroi de l'ascenseur … Pure calcul scénaristique de ma part, et peut être semi-conscient du business man : Les deux hommes se retrouvent tout près du panneau de commande de l’appareil.
L’homme approche encore, et son regard se baisse pour pouvoir apprécier la pulpe charnue des lèvres de l’attirant jeune homme. Je connais leur goût, et j’aime ses baisers.
-Si il n’y avait que ma cravate qui m’incommodait … poursuit-il, plus bas encore.
Son souffle se fait plus court, comme si il était déjà au proie d’un désir certain. Son corps se rapproche et se colle à celui du groom. La prise de ses mains se resserre. Et sans attendre davantage, il vint embrasser ces lèvres tant convoitées dans un baiser lourd de tension électrique.
Wolfe Frischmann
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Date d'inscription : 05/03/2017
Localisation : Maison Frischmann, vous pouvez pas la louper tellement elle est grande ... ou sinon laissez vous juste guider par la musique !
Emploi/loisirs : J'anime vos soirées en solitaire ... bande de petits pervers !
Je suis : Célibataire mais rarement seul